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CHRONIQUES DE LA LUNE
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21 septembre 2010

Retour

Screen_shot_2010_09_20_at_9"Je me suis mise au velo"...voila ce qu'elle m'avait dit lors de notre entretien telephonique. En guise de retrouvailles apres une absence de presque deux ans a San Francisco... j'etais de retour.

Elle avait insiste pour qu'on reprenne nos rituels vite vite. J'avais volontairement prétexté des rendez-vous. L'attente est salvatrice. Et le velo creatif. Un univers a part entiere: chaine, pignon metallique, cables, guidon, potence... L'idee s'offrait comme une évidence.

A son arrivée, elle semblait sur la réserve. Pourtant je notais sa broche, couleur rubis...qui rappelait notre dernier entretien. Un bijou personnel offert en résonance aux boutons de manchettes qu'elle avait cru bon de m'offrir. Et que je gardais précieusement. Elle vit que je notais la référence, et souris...

J'avais envie de prendre le temps, de redécouvrir ses lignes comme pour un premier entretien. Comme si nous commencions depuis le debut. Cette pensée en amena une autre et je me dis qu'il fallait que je pense a l'habiller de cuir, ou de latex, ou les deux mélangés avec ces attaches dont le bruit particulier compose souvent, pour qui sait en jouer, de rares Screen_shot_2010_09_19_at_4partitions.

Mais la n'était pas la question en cette fin d'apres-midi...

Apres un verre de Russian River, je lui demandais de passer derrière le paravent pour se dévêtir et se parer de ce qu'elle trouverait... un cycliste a sa taille, épousant ses formes ; serre juste ce qu'il faut pour galber et libérer ses fesses.

A peine sortie de l'antre vestimentaire, je la couvrais d'un loup pour qu'elle se concentre. Le stick que je présentais et qui s'aventura timidement puis fougueusement le long de ses cuisses, puis sur sa peau découverte, en changea la texture.  Basculée sur le dossier du canapé, mains posées sur l'assise et raie offerte au sommet, je dessinais quelques rougeurs ...qui finir par zébrer de lignes incandescentes sa paire de fesses.

Chef d'orchestre a la baguette, cul symphonique.

Lorsque la douleur fit son entrée, j'arrêtais pour caresser sa peau et feindre le répit... Nous étions convenus qu'aucun mot ne serait prononcé... juste des signes et sa mélodie vocale. Qui avait a mi parcours scandé le rythme des allers et venues de ma verge en bambou.

- Et qu'avez vous appris de vos sorties a vélos?  Savez vous nommer chacune des parties et en prendre soin?

Avant sa réponse,  je continuais

- Comment faites vous pour avancer alors que vos mains et vos pieds sont pris par votre guidon et par vos pédales? Etes vous libre de vos mouvements, ou bien est-ce une illusion...que d'avancer en étant liée par chacune de vos extrémités?

J'en avais trop dit, ou bien la rémanence des fessées l'avait-elle déjà plonger dans une autre dimension.

Pas de réponse, pas de bruit, pas de son. Je décidais de démontrer mon théorème.

D'abord l'enduire en ses vallées d'huile douce. Apaiser le vif et laisser couler le long de ses lignes. Saisir ensuite ses chevilles puis glisser le long de ses talons pour l'ecarter davantage. Toujours basculée tete en bas, mains posées sur le divan, croupe en l'air. Puis reculer... Faire savoir qu'on recule. Qu''une distance se créer et ...attendre.Le bruit du billot aux pieds de métal transperce alors l'ambiance. Intrigue, suscite l'intérêt (sans doute) et déclenche une furie d'images (sans nul doute).

L'ouverture en deux du plateau massif par un teton d'acier bruyant double s on attention. Je n'ai pourtant encore rien fait. Juste un peu de bruit

- Ne bougez surtout pas.

Et je saisis ses hanches alors que son ventre surpris se contracte puis se relache

- Vous n'avez rien a craindre... je veux vous apprendre a faire du velo sans cuissard.

Et je deroule lentement jusqu'a ses pieds, le cuissard qui resiste, et libere lentement ses fesses, puis ses cuisses d'une étreinte serrée. Sa peau respire a nouveau.

Elle est maintenant nu et je recule a nouveau, pour marquer nos distances et me saisir d'une chaine munie de pinces a tétons dont le bruit diffèrent du précé dent ne lui échappe pas. Je la passe lentement dans l'anneau fixé, tête en bas, au centre du plateau. Il servira de point d'équilibre.

Screen_shot_2010_09_21_at_9Il est temps de lui retirer ses talons et de la basculer sur le sol, dos contre terre. Le sol est froid. Elle sursaute legerement au contact. Je positionne sans bruit le billot au niveau de son ventre et lui saisi les chevilles pour les positionner dans les interstices Ecartée et offerte. 


Puis les mains dans le second jeu d'interstices...refermant doucement le billot que je verrouille.

- Je vais maintenant rendre hommage a vos seins, dis-je laconiquement

Et je saisis la chaine qui pend depuis son anneau central, pour venir pincer chacun de ses tétons. Et lui explique qu'il s'agit de trouver la bonne tension de chaine pour une transmission immédiate.

- Nous allons pouvoir commencer tres chere... Etes vous prête?

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Commentaires
S
Eroiquez nous...
C
Je crois que oui, je suis prête a faire de ce vélo la... Pignon fixe et seins tendus, fesses striées et offertes... Je ferai l eroica pour vous seul
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